Ce matin, balade dans la palmeraie, vers la ville où nous avons fait quelques emplettes.
Ce midi, Naïma, propriétaire de la palmeraie, nous a concocté un couscous de poulet pour 2. Il y en a au moins pour 2 repas.
Après une bonne sieste, nous décidons de reprendre la route.
Direction Guelmin, point le plus méridional de notre périple, en passant par la montagne.
Nous quittons les blocs de granit rose pour traverser une plaine à 1200 m d’altitude cultivée de céréales en petites parcelles. Les couleurs sont d’un beau vert tendre. On dirait des pelouses. Particularité : les champs de cactus sont tous entourés de murs.
L’habitat change aussi. Nous retrouvons les maisons ordinaires du Maroc.
En descendant vers la côte, la température monte. Ce soir en arrivant à l’oasis Aït Bekkou (Tighmert), près de Guelmin, il fait 29°C. La nuit va être chaude !
Apéro dehors, mais repas dedans, dérangés par la télé des voisins.
Dans le camping, rudimentaire mais avec toutes les commodités, nous sommes une dizaine de camping-cars.