Ce matin, il pleut, comme prévu.
Nous resterons sur place pour la matinée. Bruno est content de souffler. La conduite d’un camping-car sur les routes siciliennes est fatigante de par l’étroitesse de certaines voies et surtout parce que les siciliens et siciliennes se garent n’importe où et n’importe comment. De ce fait, une rue normale peut s’avérer compliquée à franchir. C’est du gymkhana certaines fois. Pas question de se faire remplacer par Brigitte !
Dans l’après-midi, nous faisons les services avant de quitter le camping et nous nous dirigeons vers le front de mer. Nous trouvons à nous stationner le long de la promenade.
Nous sortons pour une balade, très arrosée, le long des plages.
Nous contemplons 2 paquebots de croisière qui mouillent au large pour une escale à Taormine, surplombant le site.