Le temps pluvieux nous fait abandonner l’idée de la Tarabita (nacelle) pour traverser un gouffre et marcher vers des cascades.
Nous sommes attirés par la Mitad del Mundo, sorte de ligne imaginaire qui marque l’équateur.
Nous nous arrêtons dans un premier temps sur la place principale de Calacali et roulons sur la Ligne jaune. 🤩
Brigitte descend, un pied de chaque côté de la bande jaune et Bruno, lui, photographie de son côté le marquage avec les 2 Zéro. 😵💫
Nous poursuivons jusqu’à San Antonio de Pichincha et son monument abritant un musée, pour faire la photo touristique. Nous appelons nos amis Martine et Xavier, géographes, pour partager cet instant!!
A savoir, le monument n’est pas sur l’équateur, la faute aux imprécisions des calculs de l’époque où ce monument a été installé.
Nous nous rendons 250 m plus loin dans une rue où Patricio a installé un petit musée très récréatif sur ce qui est le « Punto Cero ». La ligne de l’équateur traverse sa maison.
Quand on passe d’un côté à l’autre de l’équateur, on change de saison ! Ici, c’est très rapide de passer de l’été à l’hiver et réciproquement !
Nous le vérifierons en parlant avec nos hôtes, ce soir. Il a neigé sur le volcan voisin et ils nous affirment que c’est normal car c’est l’hiver à Otavalo!!
A la sortie de la ville, nous allons vers le parc Pululahua : volcan éteint. Son cratère géant de 12 km de diamètre est le plus grand d’Amérique du Sud.
C’est aujourd’hui une vallée de culture et comme Yellowstone aux États-Unis, un cratère habité.
Nous déjeunons au restaurant Le Crater d’où nous avons une superbe vue.
Puis nous roulons jusque Otavalo plus au nord.
Bon appétit
L’oeuf tient debout !? C’est prouvé scientifiquement qu’il ne tiendrait pas chez nous ? Faudra faire l’expérience.