Nous partons à la recherche de la Poste (Correos). Nous trouvons un policier qui nous en donne les coordonnées. Arrivés sur place, une affichette nous informe que les Correos sont liquidés depuis plusieurs années et qu’il n’y plus de Correos à Cuenca.
Une agence de tourisme nous confirme qu’en Équateur, il n’y a plus de Correos, les gens étant passés aux mails et réseaux sociaux. Nous avons l’air un peu vieux jeu.
Nous devrons attendre d’être en Colombie pour poster notre courrier…
La production équatorienne d’électricité est faite par les barrages hydro-électriques. L’absence de pluies cette dernière année entraîne des restrictions planifiées électricité.
Pour compenser les délestages, les commerçants se sont équipés de groupes électrogènes. Quand ils sont en fonctionnement, ça fait un bruit d’enfer, impossible de s’entendre.
Nous arrivons au Museo de las Culturas Arborigenes.
Ce musée retrace les cultures amérindiennes de l’Équateur, depuis la période Valdivia jusqu’aux Incas, en passant par les Cañaris. Les cultures vont de 3000 avant JC à 1530 après JC.
En sortant du musée, nous retournons au mercado pour manger un Hornado.
4 jeunes arrivent sur la table (collective) où nous sommes installés. Ils engagent la conversation. Ils sont étudiants en archéologie à Mexico. Ils sont équatoriens, ont fait leur maîtrise en Équateur, mais font leur thèse de doctorat au Mexique parce que les études y sont moins chères et le niveau plus élevé. Nous avons apprécié ce moment.
