Nous quittons nos hôtes vers 9h. Leur fils nous fait comprendre que le ferry est en panne. Il ne sait pas quand il sera opérationnel.
Nous allons à l’embarcadère et attendons!
En face, avec les jumelles, nous voyons la barge, mais pas de remorqueur.
Vers 11 heures, un local, rencontré hier, arrive en moto, pas au courant de la panne.
Avec Google Translate, nous arrivons à lui faire comprendre que nous allons appeler le contact mentionné sur le panneau d’informations et que ce sera à lui de parler.
Conclusion : un remorqueur arrive pour assurer le service, mais on ne sait pas quand.
Finalement, nous traverserons vers 13 heures,
Nous reprenons la route avec l’objectif de contourner São Paulo que nous ne visiterons pas.
A ce propos, nous prononçons « sa o po lo ». Ici, c’est « san pa ou lo », ce qui finalement ressemble à la prononciation espagnole.
Nous empruntons la francilienne locale. Nous avons de la chance, car à l’arrivée sur São Paulo, les bouchons sont en face. Ça se complique en traversant le nord de l’agglomération.
Nous arrivons dans un camping peu avant la tombée de la nuit.
Il est situé dans la Forêt Atlantique, parmi les lagons et collines.
Nous sommes très bien accueillis par la propriétaire. Elle a l’habitude de voir des étrangers et maîtrise Google Translate en version orale.