Réveillés par le soleil, nous prenons le temps d’une douche en prévision des jours avec restriction d’eau à San Pedro d’Atacama.
A Antofagasta, nous faisons quelques courses pour les jours à venir.
Nous déjeunons au port d’une assiette de crabe qui ne nous a pas enchantés. Pour une fois qu’on se faisait un resto!
A la sortie de la ville, nous nous arrêtons à La Portada, symbole d’Antofagasta.
Continuant vers le nord, nous nous arrêtons à Baquedano pour visiter le musée ferroviaire. A l’époque du salpêtre, c’était un nœud ferroviaire important.
Nous bifurquons vers l’est pour rejoindre Peine, petit village dans le bas du Salar d’Atacama.
La route bien, asphaltée sur 150 kilomètres, devient un ripio mortel sur la vingtaine de kilomètres suivants.
Bruno se cale derrière un des nombreux camions allant dans les deux sens, camions qui transportent des solutions salines ou des morceaux de sols entre la mine de lithium située au sud du Salar et les usines de traitement sur la côte.
Retrouvant enfin une nouvelle route asphaltée et fatigués par cette conduite, nous bivouaquons un peu à l’écart de la route, avant le coucher de soleil, dans le sens du vent qui souffle fort mais qui devrait s’atténuer à la nuit venue.
Coucou,
Que signifie « à l’époque du salpêtre » ? Ils en avaient besoin pour les explosifs ?
Bisous