Avant de quitter Copiapó, nous allons nous promener en ville, à la recherche de la Scotiabank pour prendre de l’argent. Cela nous amène sur la place centrale avec sa cathédrale où nous faisons un petit tour, sans grand intérêt.
Et nous voilà partis vers Antofagasta. Arrivés à Caldera, Bruno pensait visiter le musée où est présentée la capsule Fénix qui en 2010 servit à ramener à l’air libre 33 mineurs coincés 69 jours au fond de la mine de San José. Détails ici.
Pas de chance nous avions mal lu, le musée était à Copiapó !!
Nous allons quand même visiter cette ville et saluons Cousteau au dessus du port.
En arrivant sur Barquito, les plages sont blanches comme neige au soleil. Il faut savoir que cette blancheur est due aux produits chimiques déversés par les mines dans la mer.
Lors d’une halte sur l’autoroute, au milieu du désert, nous sommes interpellés par un Français venant en face et ayant reconnu notre plaque. Jérôme est de Caen et voyage sur la Panaméricaine depuis 1 an seul, avec un chien adopté au Costa Rica. Et bla bla-bla…
Nous nous arrêtons à la Mano del Desierto, 100km avant Antofagasta et y élisons notre bivouac du jour, loin de la route et du bruit, au dos de la main.
J’aime le salut de la main
Bonne route