Journée à Santiago.
Emi, une amie de Matias le propriétaire du camping, nous emmène au cœur de la ville de Santiago en nous faisant une visite guidée sur le chemin.
Elle nous dépose au pied du téléphérique du Cerro San Cristobal. Après avoir pris les tickets, nous sortons à la première étape pour aller au monument « Tapahue » ainsi nommé par les mapuches. Aujourd’hui cet endroit est occupé par une large piscine en plein air.
Un peu plus loin nous visitons les vestiges de « Victoria Torreon » entourés de palmiers. Cette tour, à l’origine, était un observatoire astronomique.
Nous reprenons le téléphérique pour son point final, le Sanctuario de la Immaculada Concepción, où se dresse une statue de la vierge haute de 14 mètres, une église et des lieux de prières.
De ce sommet nous avons une belle vue sur Santiago. Santiago nous fait penser à Grenoble. La ville est construite dans une cuvette avec de beaux bâtiments anciens en son centre et des immeubles qui rivalisent de hauteur tout autour.
Nous prenons le funiculaire pour redescendre, quelques 300 mètres plus bas.
Il fait de plus en plus chaud.
Nous déjeunons dans le quartier Bellavista, à l’ombre, dans un restaurant du coin. Nous y sommes rejoints par nos voisins du camping, originaires de La Réunion et déjeunons ensemble.
Nous continuons notre visite en grimpant sur le Cerro Santa Lucía où fut fondée la future capitale du Chili.
Un escalier étroit permet d’accéder à la Torre Mirador, offrant une belle vue sur la ville. Au loin la Cordillère dans un épais nuage de chaleur et sûrement de pollution.
Nous continuons notre marche vers la Plaza des Armas et la cathédrale et finissons dans les rues piétonnes à l’ombre. Il fait 38°C.
Emi vient nous rechercher devant la Moneda, siège de la présidence de la république et nous ramène au camping vers 19h.
Nous ne tardons pas à sauter dans la piscine et rejoindre Pauline et Adrien de retour de Valparaiso où les incendies font rage.
Au top ce vélo à moteur, sacré montage. J’aurais aimé entendre le bruit qu’il fait en se déplaçant !
Votre balade photo me renvoyait à Grenade plutôt qu’à Grenoble.
Bisous
Totale admiration pour el velomotor chileno.
Et je ne savais pas que M’bappé s’était reconverti dans le café (el señor de Jacques Vabre ?).
Attention à la chaleur. El Niño fait des ravages.